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Conférences et formations en nutrition – Gestion du surpoids
Je pense que j’ai toujours aimé transmettre et animer des formations, exactement comme les domaines de la santé, de la nutrition, du surpoids et de la recherche médicale m’ont toujours passionné.
Contrairement à certaines formations, dans les conférences, nous sommes certains que les personnes présentes sont intéressées par le sujet évoqué (ici le surpoids de l’enfant) et ont besoin d’en savoir plus, d’apprendre, d’être éveillées à de nouvelles problématiques, solutions ou études scientifiques. Alors, j’ai encore plus de plaisir à partager des informations qui peuvent être utiles à l’auditoire, sous forme de conférences, de formations, d’ateliers etc…
Ces actions ont toujours plusieurs objectifs. Le premier et le plus important, celui qui me tient à cœur, est la sensibilisation. Je choisis un thème d’actualité médicale qui me semble avoir un impact direct sur la vie des personnes et qui allie santé et nutrition. Si mon auditoire arrive à retenir quelques phrases importantes, quelques chiffres frappants, quelques solutions applicables, et même si c’est une faible proportion de la présentation, ils seront sensibilisés. Cela permet d’éveiller leurs sens à peut-être approfondir leurs recherches dans ce domaine ou appliquer des recommandations et en parler autour d’eux. Dans cette conférence, qui traite le surpoids et particulièrement celui de l’enfant, j’ai espoir d’avoir éveillé la curiosité de parents, mais aussi des personnes faisant partie de l’entourage d’enfants en surpoids ou du réseau scolaire, social, sportif, médical d’enfants en surpoids. Chaque personne en contact direct ou indirect peut agir dans le confort de l’enfant et dans sa réussite nutritionnelle afin de préserver sa santé.
Le second objectif est de transmettre des conseils en matière de nutrition applicables et réalisables facilement. En titillant la vigilance, en arborant, avec précautions, les différents risques liés au sujet évoqués, on ouvre le champ des possibles solutions pour maintenir la bonne santé de son enfant le plus longtemps possible. Des heures de recherches, de formation, d’expérience, sont nécessaires pour élaborer et transmettre ces informations afin qu’elles soient les plus fiables possible. Il n’est pas possible de rentrer dans le détail et de réaliser des prescriptions en micro nutrition lors d’une conférence. Ce sont évidemment des indications généralistes qui peuvent aider tout le monde, comme, par exemple dans notre sujet qui est le surpoids infantile, l’importance de la diversification maternelle et de l’enfant pendant les 1000 premiers jours de vie. Les consultations individuelles en micro nutrition permettent d’individualiser les prescriptions en fonction du mode de vie du patient, de ses besoins, de son corps, de son histoire etc… Nous prenons, alors, le temps, d’analyser les conditions de la personne dans plusieurs domaines pour adapter la prescription au plus proche de ses besoins et qui répondra au plus vite à ses attentes.
Le troisième objectif de ces interventions est d’apprendre de vous. La richesse des échanges qui s’en suivent me permettent à moi aussi d’aiguiser ma curiosité, de me questionner, de faire de nouvelles recherches et d’apprendre davantage. Je reçois toujours des questions qui ont un sens dans mes démarches et qui me permettent de voir certains sujets autrement et de prendre du recul. Alors cet objectif semble un peu égoïste mais finalement, il n’a pour seul et unique but de faire grandir mes compétences en nutrition, en santé, en médecine, pour aider encore mieux mes patients et mes futurs auditoires des nouvelles conférences, ateliers et formations.
Si vous recherchez une nutritionniste pour intervenir dans vos organisations sous forme de conférence, d’ateliers ou de formations (écoles, entreprises, centre de formation, associations, forum), n’hésitez pas à me contacter => ICI.
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Consommation de soda et ostéoporose
Comment la consommation de soda chez les enfants puis chez les adultes peut impacter la solidité des tissus osseux et être une des causes majeures de fractures chez les jeunes adultes et d’ostéoporose précoce ? Cette vidéo présente les mécanismes d’un certain acide présent dans les sodas sur la perte de solidité de nos os.
L’acide Phosphorique dans le soda : un poison qui favorise l’ostéoporose
En consommant de fortes proportions d’acide phosphorique, le calcium va compenser l’acidose induite par la présence de l’acide phosphorique. C’est en consommant ce calcium présent normalement dans la constitution des os du corps, que l’ostéoporose va progressivement s’installer. L’acide phosphorique aura également un impact sur la concentration de magnésium dans les os conduisant à leur fragilisation.
La consommation de soda contenant de l’acide phosphorique est fortement contre indiquée chez les enfants afin de prévenir l’ostéoporose précoce, le surpoids, les inflammations, les maladies auto-immunes et les risques neurologiques associés.
L’eau reste la meilleure boisson pour la santé. Il est recommandé d’en boire 0,33 ml/ kg /jour. N’hésitez pas à varier les sources d’eau consommées. L’eau du robinet en France reste une eau de qualité et “normalement” contrôlée. Les femmes enceintes et allaitantes ont intérêt à augmenter leur consommation. il est intéressant également de sensibiliser les enfants à boire en dehors des repas et sans attendre la sensation de soif. Ces réflexes ne peuvent pas encore être acquis. Boire en dehors des repas facilitera la digestion et évitera de couper la faim. Apprendre à boire sans attendre la sensation de soif permet au corps de rester hydrater et de ne pas perdre de capacités physiques et intellectuelles.
*Le calcium contenu dans l’eau peut tout à fait compenser un apport très faible en laitage. Le calcium se trouve également dans de nombreux végétaux.
L’eau est acalorique, de ce fait c’est un allié minceur et de lutte contre le surpoids riche en éléments essentiels pour l’organisme comme les minéraux et les oligo éléments.
Pour me contacter
N’hésitez pas à prendre rendez-vous ici, les consultations en nutrition fonctionnelle peuvent se réaliser à distance ou au cabinet de Saint-Chamas, situé entre Istres et Salon-de-Provence.
Céline Matrullo – Nutritionniste fonctionnelle – Spécialisée dans le surpoids
https://www.cylex-locale.fr/entreprises/c%C3%A9line-matrullo—nutrinaissance-14489853.html
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Faire accepter les légumes à nos enfants grâce aux 1000 premiers jours de vie – Équilibre du poids
La consommation de légumes par nos enfants et adolescents est souvent un sujet épineux autour de la table familiale. De nombreux parents sont confrontés à l’objection et au rejet des légumes de la part de leurs enfants. Aujourd’hui, on sait que la période des 1000 premiers jours de la vie, de la conception aux 2 ans de l’enfant, offre une période de tir intéressante pour favoriser l’acceptation et l’appréciation des légumes des futurs enfants avant cette fameuse phase de néophobie alimentaire et contrôler la prise de poids. Je souhaite par cette vidéo partager quelques conseils aux futurs parents et aux parents de très jeunes enfants afin de permettre à leurs enfants d’augmenter leur consommation de légumes avec plaisir et envie.
Quelle est l’importance de faire manger des légumes à ses enfants ?
Les fruits et légumes sont des produits non transformés provenant directement de cultures. Ces aliments sont chargés en minéraux, oligo éléments, vitamines, anti-oxydants, fibres qui ont des effets très favorables pour la croissance des enfants et leur santé. Ce cocktail a un effet protecteur sur de nombreuses maladies ainsi que sur le poids et permet de réduire les risques de déclenchement de pathologies dites “génétiques”. Par ailleurs, éduquer son enfant à aimer les fruits et légumes permettra au futur adulte de faire les bons choix culinaires et protéger lui-même sa santé des maladies et du vieillissement afin de garder énergie et vitalité.
Quel est l’impact des 1000 premiers jours de vie sur l’acceptation future des légumes et le poids ?
Pendant les 1000 premiers jours de vie (de la conception aux 2 ans de l’enfant : voir video), les parents peuvent mettre en place différentes indications pour élargir l’ouverture du futur enfant aux différents goûts et textures. Dès la gestation, de nombreuses études ont montré que le fœtus accédait aux premiers arômes et pouvait avoir des réactions différentes selon les aliments consommés. Puis par l’allaitement au sein, le principe est le même. Le lait change d’arôme en fonction de l’alimentation de la mère. Ainsi, d’autres études ont montré qu’en débutant la diversification à 5 mois au lieu de 6 mois, en jouant sur la variété plutôt que la quantité, en exposant dans la maison les fruits et légumes, en cuisinant, jardinant avec l’enfant, en montrant l’exemple, tous ces gestes permettent à l’enfant d’éduquer ses facultés gustatives à l’acceptation des différents goûts et textures des légumes.
Que peut-on faire en nutrition fonctionnelle ?
En nutrition fonctionnelle, je peux travailler avec vous ces ajustements alimentaires dès la grossesse. Également, accompagner la femme allaitante afin de lui prodiguer les meilleurs conseils. J’accompagne les enfants en sur poids afin de modifier leur alimentation et leur mode de vie. L’objectif principal est d’améliorer leur croissance et leur vitalité.
Vous pouvez me contacter par ici. Les consultations peuvent se réaliser à distance ou au cabinet situé à Saint-Chamas, entre Istres et Salon-de-Provence.
Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialisée prise en charge du surpoids infantile et adulte
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Lutter contre la fatigue et la prise de poids
Quel est le lien entre prise de poids et fatigue ?
Le cerveau doit aller chercher la tyrosine dans les protéines pour activer les deux neurotransmetteurs qui nous donneront de l’énergie, la dopamine et la noradrénaline (lien article sur les neurotransmetteurs), afin de lutter contre la fatigue et la prise de poids :
Les œufs : principal fournisseur de tyrosine, à condition de les consommer très peu cuits (coque, brouillés, plat) afin de conserver les qualités nutritionnelles.
Jambon, bacon, viandes blanches
Fromages (chèvre, brebis de préférence)Du gras : Il apporte les acides gras essentiels, permet de favoriser la satiété au cours de la journée et de baisser l’indice glycémique de votre repas (si accompagné d’une protéine) et permet de lutter contre la prise de poids. Les acides gras apportent la vitamine A, diminuent les risques cardiovasculaires, et participent au contrôle des mécanismes inflammatoires afin de favoriser la production d’énergie, lutter contre la fatigue et de favoriser la perte de poids :
Poissons gras : saumon, sardines etc…
Graines de lin moulues (non moulues, les nutriments ne sont pas absorbés correctement)
Oléagineux (noix du brésil excellent pour le sélénium, on en parlera lors d’un prochain article, amande, macadamia…)
Avocat
OlivesQue penser des fruits dans un objectif de perte de poids ? Réduisent-ils la fatigue ?
Les jus de fruits ont perdu l’ensemble de leurs fibres. Les fibres permettent de réduire le niveau de sucre. L’indice glycémique du jus de fruit sera alors trop élevé et favorisera la prise de poids. Il est donc préférable de consommer des fruits entiers, mais tous les fruits ne conviennent pas au repas du matin.
Nous devons privilégier les fruits les moins sucrés.
Mon favori est le KIWI avec toutes ses propriétés (riche en vitamine C, protège des maladies cardiovasculaires, des dommages dus à l’oxydation, bon pour le transit, très peu sucré, aide à la cicatrisation …)
Les fruits sont à consommer en début de repas.
Les fruits rouges : des vraies pépites nutritionnelles ( framboises, baies, mures, myrtilles ). Ils contiennent des acides ellagiques et galliques qui ont des vertus anti virales et anti microbiennes, des flavonoïdes qui captent les radicaux libres et préviennent une longue liste de maladies chroniques, de la vitamine C, protègent du déclin cognitif, des AVC, effets anti inflammatoires, des effets de régulation sur la pression artérielle etc…)
Lien intéressant : https://www.lettre-docteur-rueff.fr/un-coup-de-rouge-au…/Les fruits séchés sont également à consommer en fin de journée, l’indice glycémique est trop élevé mais permettent de favoriser la production d’énergie pour terminer la journée ou avant une séance de sport afin de limiter la prise de poids.
En chononutrition, les fruits sont consommés davantage en fin de journée entre 16H et 18H. C’est à ce moment que le corps les digérera mieux et utilisera à bon escient leurs nutriments. Par ailleurs, il est préférable de les consommer hors des repas afin d’éviter les fermentations. Les fruits à index glycémique plus élevé sont donc déconseillés au petit déjeuner.
Et les autres glucides ?
Le pain, les biscottes, les viennoiseries, céréales = SUCRE
Je proposerai un prochain article sur le sucre.
Le sucre du matin est trop vite assimilé et de la mauvaise manière par le corps. Il va favoriser la production d’insuline toute la journée et ne favorisera pas la satiété, à contrario aidera à la prise de poids, au manque de concentration, à l’hyperactivité, la dépression…) Par ailleurs, le sucre est pro inflammatoire et nourrit un grand nombre de pathologies tout en favorisant la fatigue.Nous pouvons favoriser les pains complets, au levain ou faits maison avec des farines à indice glycémique bas (ex : Sarrasin).
Et les enfants dans tout ça ?
Les enfants ont des besoins nutritionnels particuliers. Comme les adultes, les enfants ont des appétits inégaux. Certains adorent petit déjeuner et pour certains enfants, déjeuner le matin est très difficile par manque d’appétit. Nous pouvons tout à fait leur proposer progressivement un petit déjeuner plus protéiné avec des petits morceaux de fromage, du jambon, des œufs brouillés, des fruits rouges, des oléagineux (à partir de 6 ans ou avant si pas d’intolérances détectées). A la grande surprise de beaucoup de parents, les enfants adorent et l’appétit se dénoue. Les effets sur la concentration sont importants sur la matinée, la baisse de glycémie étant fortement diminuée entre 10H30 et midi. Dans la prise en charge du surpoids infantile, nous accordons beaucoup d’importance au contenu du petit-déjeuner. A essayer !
La maîtrise des catécholamines et la production d’énergie sont des points clés travaillés en nutrition fonctionnelle. D’autres piliers comme la qualité du sommeil, l’équilibre perso/pro, l’activité physique, le stress peuvent également être travaillés dans le cadre de mon approche pour retrouver de l’énergie.
Vous pouvez me contacter ici. Les consultations avec votre nutritionniste se déroulent à distance ou à mon cabinet situé sur Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.
Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique