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Faire accepter les légumes à nos enfants grâce aux 1000 premiers jours de vie – Équilibre du poids
La consommation de légumes par nos enfants et adolescents est souvent un sujet épineux autour de la table familiale. De nombreux parents sont confrontés à l’objection et au rejet des légumes de la part de leurs enfants. Aujourd’hui, on sait que la période des 1000 premiers jours de la vie, de la conception aux 2 ans de l’enfant, offre une période de tir intéressante pour favoriser l’acceptation et l’appréciation des légumes des futurs enfants avant cette fameuse phase de néophobie alimentaire et contrôler la prise de poids. Je souhaite par cette vidéo partager quelques conseils aux futurs parents et aux parents de très jeunes enfants afin de permettre à leurs enfants d’augmenter leur consommation de légumes avec plaisir et envie.
Quelle est l’importance de faire manger des légumes à ses enfants ?
Les fruits et légumes sont des produits non transformés provenant directement de cultures. Ces aliments sont chargés en minéraux, oligo éléments, vitamines, anti-oxydants, fibres qui ont des effets très favorables pour la croissance des enfants et leur santé. Ce cocktail a un effet protecteur sur de nombreuses maladies ainsi que sur le poids et permet de réduire les risques de déclenchement de pathologies dites “génétiques”. Par ailleurs, éduquer son enfant à aimer les fruits et légumes permettra au futur adulte de faire les bons choix culinaires et protéger lui-même sa santé des maladies et du vieillissement afin de garder énergie et vitalité.
Quel est l’impact des 1000 premiers jours de vie sur l’acceptation future des légumes et le poids ?
Pendant les 1000 premiers jours de vie (de la conception aux 2 ans de l’enfant : voir video), les parents peuvent mettre en place différentes indications pour élargir l’ouverture du futur enfant aux différents goûts et textures. Dès la gestation, de nombreuses études ont montré que le fœtus accédait aux premiers arômes et pouvait avoir des réactions différentes selon les aliments consommés. Puis par l’allaitement au sein, le principe est le même. Le lait change d’arôme en fonction de l’alimentation de la mère. Ainsi, d’autres études ont montré qu’en débutant la diversification à 5 mois au lieu de 6 mois, en jouant sur la variété plutôt que la quantité, en exposant dans la maison les fruits et légumes, en cuisinant, jardinant avec l’enfant, en montrant l’exemple, tous ces gestes permettent à l’enfant d’éduquer ses facultés gustatives à l’acceptation des différents goûts et textures des légumes.
Que peut-on faire en nutrition fonctionnelle ?
En nutrition fonctionnelle, je peux travailler avec vous ces ajustements alimentaires dès la grossesse. Également, accompagner la femme allaitante afin de lui prodiguer les meilleurs conseils. J’accompagne les enfants en sur poids afin de modifier leur alimentation et leur mode de vie. L’objectif principal est d’améliorer leur croissance et leur vitalité.
Vous pouvez me contacter par ici. Les consultations peuvent se réaliser à distance ou au cabinet situé à Saint-Chamas, entre Istres et Salon-de-Provence.
Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialisée prise en charge du surpoids infantile et adulte
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Mes piliers de la santé
Les retours santé régulièrement entendus au début des prises en charge :
« Madame, vos problèmes de santé c’est le stress… », «Mais Céline, je ne suis pas stressée ».
« Madame, essayez l’hypnose ça détend… », «Céline, je n’aime pas l’hypnose, ni la méditation, ni … »
« Madame, il faut perdre du poids si vous voulez tomber enceinte »
« Madame, vous êtes fatiguée parce que vous ne dormez pas assez », « Céline, j’ai tout essayé pour mieux dormir »
« Madame, pour votre pathologie il n’y a pas d’autres solutions que de prendre la pilule », « Céline, les hormones me font gonfler, je n’ai plus de libido et mon cholestérol a augmenté… »
Dans le cadre de ma pratique en nutrition fonctionnelle, en écoutant les « mots » de ma patiente, je vais commencer par l’accompagner pour soulager « ses maux ». Parallèlement, nous allons travailler main dans la main pour analyser les causes multifactorielles qui ont conduit à cette problématique. Nous allons engager un suivi sur chacune de ces causes afin d’atteindre l’objectif de la patiente.
Je ne travaille pas selon un protocole. Je n’applique pas une procédure pour une pathologie. Je considère votre santé dans sa globalité afin de trouver les causes.
Ma pratique est avant tout basée sur Ma/Mon Patient.e. Avant tout je l’écoute, j’écoute son histoire, celle de ses parents, qui lui ont transmis sa base génétique, dans quel environnement il a grandi, quels sont les déclencheurs de sa problématique, que s’est-il passé quelques mois avant, dans quelles conditions les symptômes se sont développés, quels sont ses symptômes, qu’est-ce qui provoque leur déclenchement.
Puis nous établissons ensemble ses objectifs, pourquoi vient-il me consulter aujourd’hui ? Où allons-nous aller ensemble ? Dans quelles conditions ? Avec quels bagages ? Avec quel véhicule ? A quelle vitesse ?
Je travaille ensuite selon 8 piliers essentiels pour améliorer son mode de vie et parvenir à l’amélioration de sa problématique.
L’alimentation : Pourquoi ?
Parce qu’en mangeant 7 Tonnes d’aliments en une vie, ça ne peut pas avoir aucune répercussion sur notre santé. C’est notre essence. Si nous ne mettons pas le carburant qui convient au véhicule, il n’avance pas.
L’hydratation : Pourquoi ?
Il faut savoir qu’une perte de 2% en eau provoque une altération de 20% de notre énergie et de nos capacités.
Le stress : Pourquoi ?
Le stress stimule directement l’hormone appelée Cortisol. Un niveau trop important ou trop faible de cortisol va avoir de nombreuses répercutions sur notre métabolisme (poids, fertilité, sommeil, microbiote, absorption des nutriments, énergie, vitalité…)
Le sommeil : Pourquoi ?
Le sommeil et le cortisol ont un lien direct. L’augmentation de la mélatonine se fait avec la baisse du cortisol, l’augmentation du cortisol pour nous réveiller le matin, diminue la mélatonine. Sans sommeil, le cortisol est toujours stimulé et donc impactera de nombreuses fonctions de notre corps. Le sommeil est aussi un régulateur de la leptine, qui régule la satiété et donc la perte de poids. Voir l’article sur le sommeil.
L’activité physique : Pourquoi ?
L’Homme moderne a très fortement diminué son activité physique et aujourd’hui les enfants sont confrontés à cette forte diminution. Cette diminution est corrélée (avec d’autres changements tels que la qualité alimentaire) à la croissance exponentielle des maladies auto-immunes et inflammatoires. L’activité physique agit positivement sur de nombreux domaines : prévention de maladies (cancer, cardiovasculaires, auto-immunes), stabilise la pression artérielle, favorise le sommeil, diminue le stress, participe à la détoxification, lutte contre le vieillissement, agit sur le maintien et la perte de poids, diminue l’insuline, améliore l’oxygénation de toutes nos cellules et donc la production d’énergie, augmente la lipolyse (perte de graisse), augmente notre masse musculaire, et tellement d’autres…
Le rythme de vie : Pourquoi ?
Il est très fréquent que des pathologies apparaissent lors d’un changement de mode de vie (enfants, perte d’un être cher, perte d’un emploi, déménagement, divorce, stress chronique, nouveau patron, nouvel équipe, augmentation du temps de travail au détriment de la famille etc …) Je porte une attention particulière sur le rythme de vie de mon patient afin de vérifier qu’il correspond à ses attentes. Un blocage sur ce pilier peut tout à fait empêcher l’amélioration de sa santé malgré les autres modifications mises en place.
L’oxygénation : Pourquoi ?
Nos cellules ont besoin d’oxygène et pas seulement celui qui est dans notre maison, notre bureau. En travaillant la respiration, mais aussi par d’autres solutions, l’oxygénation améliore l’énergie, la diminution des inflammations, des douleurs, du stress, diminue la pression artérielle, favorise un sommeil réparateur et améliore votre santé.
L’environnement : Pourquoi ?
L’environnement, c’est très large. Néanmoins, de nombreuses études confirment l’impact de la pollution, des pesticides et des perturbateurs endocriniens sur l’apparition et le développement des pathologies des patients. Je porte une attention particulière à ce pilier pour l’accompagnement à la grossesse, de l’endométriose, la ménopause et toutes les pathologies liées aux dérèglements hormonaux. Voir article sur les perturbateurs endocriniens.
Il n’y a jamais un seul pilier responsable de l’état de santé de mon patient. Il est toujours nécessaire de travailler plusieurs points, d’avancer progressivement ensemble et selon ses besoins, ses difficultés, ses obligations. N’hésitez pas à me contacter.
Votre nutritionniste.
Propriété de Céline Matrullo, reproduction interdite
Rendez-vous par ici . Je consulte à distance ou en cabinet situé à Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.
https://www.resalib.fr/praticien/60807-celine-matrullo-nutritherapeute-saint-chamas
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Lait de Vache vs Laits Végétaux : SOPK, endométriose, fertilité, nourrissons
Êtes vous réellement allergique au lactose présent dans le lait de vache?
En réalité, le lactose est un sucre et nous ne pouvons pas être allergique à un sucre. En revanche, l’allergie concerne la lactoglobuline, la lactoprotéine, la caséine du lait de vache. Les intolérances sont expliquées par notre production décroissante au fil de l’âge de la lactate, l’enzyme nous permettant de digérer le lactose. De plus en plus de bébés naissent avec une très faible tolérance au lactose. Ceci est du à un déficit en production de lactate et à la difficulté de digestion des lactoglobulines et caséines. Ces dernières sont des protéines particulièrement grosses et difficiles à décomposer lors de la digestion. Mal digérées, elles provoquent alors des inflammations, des coliques chez les nourrissons.
Quels sont les risques à la consommation de lait de vache ?
Par ailleurs, les laitages animaux (lait de vache, brebis, chèvre) sont particulièrement acidifiants. Cette acidification est vectrice d’ostéoporose, de fractures et d’arthrose et stimulent la destruction de l’os. Cette acidification sera néfaste pour les patientes atteintes de SOPK et d’endométriose, majorant ainsi les inflammations.
La lactose stimule le facteur de croissance insulinomimétique, appelé somatonédine C (IGF-1). Les bébés en ont besoin, mais passée la période nourrisson/enfance, IGF-1 n’a pas besoin d’être “sur stimulé”.
L’excès de consommation de produits laitiers animaux augmentent de façon significative le niveau d’insuline. Cette augmentation peut conduire à l’insulino-résistance, facteur de SOPK, de l’inflammation et de diabète de type II. Parallèlement, ils contiennent trop de graisses saturées néfastes en cardiologie (infarctus, artérite…) et en neurologie (AVC, Alzheimer, Parkinson…).
Par ailleurs, l’utilisation déraisonnée des antibiotiques dans les élevages conduisent à une modification de la qualité du lait de vache et de la flore saprophyte. On retrouve également des perturbateurs endocriniens qui vont agir sur le fonctionnement thyroïdien et favoriser prise de poids, apparition de maladies auto-immunes, hypo fertilité, infertilité, SOPK, endométriose, micro-pénis, anomalies génitales, cryptorchidies, puberté précoce, cancer.
En effet, les graisses des laitages diluent les polluants qui sont liposolubles et ainsi interfèrent très facilement avec les récepteurs des hormones thyroïdiennes, sexuelles, stéroïdiennes.
Par quoi remplacer le lait de vache ?
Les laits végétaux sont généralement plus digestes. Il en existe plusieurs sortes avec chacun des propriétés différentes en fonction de leur composition. Souvent, il est nécessaire d’en tester plusieurs avant de trouver celui qui nous convient en terme de goût, de digestion, et de composition.
Le lait se trouve également dans le beurre, les crèmes, les biscuits, les plats préparés, les fromages, le chocolat. Il se cache dans de nombreuses préparations, c’est pourquoi il est nécessaire, en cas d’éviction, d’être particulièrement vigilent aux étiquetages.
Quel lait premier âge privilégier pour les nourrissons ?
Si on considère l’allaitement au sein comme l’alimentation la plus adaptée pour les nourrissons et bébés jusqu’à 6 mois, vous pouvez aussi faire le choix de l’allaitement au biberon.
Face au large choix de laits premier âge sur le marché, il est parfois difficile de s’y retrouver. Le bébé peut également marquer ses préférences par le refus de certains laits ou par des réactions digestives. L’idéal étant de choisir un lait dont la composition se rapproche le plus de celle du lait maternel. Le lait maternel est particulièrement changeant. Sa composition évolue au cours d’une même tétée, contrairement au lait présent dans le biberon. Il est donc difficile/ impossible de trouver un lait qui possède les mêmes qualités que le lait maternel.
Le lait de vache est particulièrement inadapté pour le nourrisson car sa concentration en protéines est nettement trop élevée et le nourrisson n’est pas capable de les digérer. La concentration de glucides, est quant à elle trop faible. C’est pour cela que les préparations premier âge sont travaillées et évoluées pour se rapprocher au mieux de ses besoins. Afin de limiter les coliques et douleurs digestives, vous pouvez veiller à ce que le rapport Caséines/protéines du Lait se rapproche le plus du lait maternel soit 40/60, avec un poids en protéines de 1g environ.
La composition en acides gras est particulièrement importante à vérifier afin de favoriser les laits à teneur intéressante en acides gras polyinsaturés et limiter les acides gras saturés. Les laits infantiles remplacent les graisses lactiques par des huiles végétales mais qui sont dépourvues en cholestérol. Le cholestérol étant très important pour le développement neurocognitif de l’enfant, le protège des agents infectieux et favorise sa croissance. Ils ont potentiellement un effet sur la programmation de la santé de l’adulte. Dans tous les cas, il est particulièrement déconseillé de nourrir le nourrisson avec un lait végétal (type lait de riz, lait de chèvre, lait de soja etc…) dont la composition ne correspond aux besoins du nouveau né.
Lien pour le nouveau cadre réglementaire :
Lien de mes recettes sans lait de vache, sans gluten
Que fait-on en nutrition fonctionnelle pour limiter le lait de vache ?
Pour les adultes : Nous diagnostiquons une éventuelle réaction à la consommation de lait de vache et dans ce cas travaillons sur une éviction provisoire ou complète en fonction de l’évolution des symptômes.
Pour les femmes allaitantes : Parfois la consommation de lait de vache ou de produits en contenant provoque des coliques au nourrisson. Il est possible de le remplacer par des laits végétaux et de veiller à l’étiquetage des aliments consommés.
Pour les nourrissons non allaités au sein : Nous étudions ensemble la composition des laits infantiles pour choisir celui se rapproche au plus près des besoins et de la tolérance du bébé.
Pour me contacter c’est par ici. Les consultations se déroulent à distance ou à mon cabinet situé sur Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.
Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique