Fertilité

Tout article en lien avec les difficultés ou pour favoriser la fertilité, la reproduction, la grossesse, devenir maman, être enceinte.

  • hypothiroïdie
    Fertilité,  Poids,  SOPK

    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge

    Quel est le lien entre hypothyroïdie et SOPK ?

    L’hypothyroïdie peut être la cause de nombreuses problématiques et pathologies. En France, on estime que 50% des personnes hyperthyroïdiennes ne sont pas encore diagnostiquées. L’hypothyroïdie peut notamment impacter la fertilité, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), la prise de poids, une fatigue inexpliquée, les inflammations, la digestion. Elle est à prendre en charge très rapidement en cas de désir de grossesse afin de favoriser la fertilité, une grossesse sereine et le bon développement du fœtus. A travers cet article, vous pourrez découvrir les nombreux symptômes liés à l’hypothyroïdie et ses différents impacts sur le corps. Lors du diagnostic, l’apport en nutriments et micronutriments est étudié dans le détail afin de cibler des déficits et pouvoir les améliorer. Les facteurs d’inhibition du fonctionnement thyroïdien sont à limiter afin de favoriser l’impact des micronutriments sur la relance thyroïdienne.

    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge Les différents symptômes de l'hypothyroïdie
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose
    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose
    
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose
    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge
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    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge
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    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge
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    Hypothyroïdie, SOPK et prise en charge
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose
    Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose

    Quelle est l’importance de la prise en charge de l’hypothyroïdie en cas de SOPK ?

    La prise en charge de l’hypothyroïdie SOPK est primordiale afin de soulager de nombreux symptômes et de favoriser un rééquilibrage hormonal. Chez la patiente SOPK, le mécanisme de production des hormones FSH/LH, des hormones androgènes et la production des hormones thyroïdiennes sont facteurs et conséquences ce qui implique un accompagnement sur les deux terrains afin d’améliorer le syndrome d’une manière globale.

    C’est aussi lors de la pré-ménopause et de la ménopause, que chez certaines femmes, on découvre une hypothyroïdie frustre accompagnée de la modification hormonale (baisse des œstrogènes, de la progestérone et du rapport entre les deux hormones). L’hypothyroïdie va alors nettement favoriser les symptômes tels que la prise de poids ou le ralentissement de perte de poids, la fatigue physique et psychologique, les refroidissements/bouffées de chaleur, la rétention d’eau, les problèmes digestifs, l’augmentation du cholestérol total, l’apparition de problèmes cardio-vasculaires, etc… La prise en charge permettra d’accompagner la patiente à accepter ce passage dans de meilleures conditions physiques et psychologiques et favorisera le fonctionnement des différentes approches complémentaires.

    Que peut-on faire en nutrition fonctionnelle face à hypothyroïdie ?

    L’hypothyroïdie frustre est souvent causée par des déficits nutritionnels tels que l’iode, le sélénium, les complexes de vitamines B etc.. En nutrition fonctionnelle, nous allons commencer par analyser votre alimentation, la qualité de votre assimilation et en déduire des déficits nutritionnels. Ce diagnostic s’accompagne d’analyses biologiques quand cela s’avère nécessaire. Nous commençons par corriger ces déficits afin de refaire partir votre thyroïde et remettre dans les normes la production d’hormones thyroïdiennes afin de refaire fonctionner votre organisme correctement. Puis nous étudierons votre mode de vie pour diagnostiquer d’éventuels causes externes, environnementaux de dérèglement thyroïdien à corriger assez simplement.

    Pour prendre rendez-vous, c’est par ici. Les consultations se déroulent à distance ou en cabinet situé à Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.

    https://www.resalib.fr/praticien/60807-celine-matrullo-nutritherapeute-saint-chamas

  • santé
    Endométriose,  Fertilité,  Périnatalité,  Poids

    Notre santé n’a pas de prix

    Notre santé  n'a pas de prix, il faut en prendre soin et considérer que chacun de nos organes est vital. Profitez d'une alimentation variée et équilibrer est un bon début.
Santé et alimentation
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose

    Notre santé n’a pas de prix, ces organes ont des fonctions essentielles :

    Estomac : Est la deuxième phase de la digestion après la mastication et le mélange des enzymes salivaires. Aussi, il permet de préparer l’absorption des nutriments et micronutriments dans les intestins.

    Reins : Permettent l’élimination des déchets du corps, de maintenir un équilibre des sels minéraux importants dans de nombreux métabolismes. Également, il participe à la fabrication des globules rouges.

    Vésicule biliaire : Permet une bonne digestion des graisses.

    Intestin grêle : Permet de poursuivre la digestion et donc l’absorption des tous les micronutriments. Par cet intermédiaire, c’est grâce à lui que nous produisons et utilisons de l’énergie, fabriquons des hormones essentielles à la vie. Ainsi l’axe intestin-cerveau lui confère également des fonctions neurologiques et psychologiques.  

    Gros intestin : Termine l’absorption des derniers nutriments et micronutriments, et sert principalement de préparation à l’évacuation des déchets.

    Poumons : Absorbent l’oxygène que nous respirons pour le transférer dans le sang.

    Foie : Détoxifier le sang, permet la répartition dans les différents organes des nutriments, participe au métabolisme des protéines, lipides, glucides.

    Cœur : Permet à chaque organe d’être alimenté en sang et donc en oxygène.

    Pancréas : Régule la glycémie et produit des enzymes pour assurer la digestion des nutriments.

    Yeux : Emerveillent nos journées, nous permettent de travailler, de conduire, de faire du sport, nos loisirs, nos passions, nos passe-temps, de lire, regarder un film, de percevoir un danger, etc…

    Cerveau : Est notre centre de commande de tout le corps.

    Ces quelques organes sont vitaux, et ils fonctionnent tous grâce aux 7 tonnes d’aliments que nous absorberons au cours de notre vie. Notre corps n’a pas de prix, chacun de ces organes nous appartient, nous sommes responsables d’en prendre soin afin que chaque fonction soit assurée correctement. En nutrition fonctionnelle, nous apportons les micronutriments nécessaires à la vitalité de chaque organe et à l’homéostasie du corps.

    Céline Matrullo – Nutritionniste fonctionnelle – Pour votre santé

    Pour me contacter c’est par ici. Les consultations se déroulent à distance ou à mon cabinet situé à Saint-Chamas, entre Istres et Salon-de-Provence.

  • lait de vache
    Endométriose,  Fertilité,  Nutrition fonctionnelle

    Lait de Vache vs Laits Végétaux : SOPK, endométriose, fertilité, nourrissons

    lait de vache

    Êtes vous réellement allergique au lactose présent dans le lait de vache?

    En réalité, le lactose est un sucre et nous ne pouvons pas être allergique à un sucre. En revanche, l’allergie concerne la lactoglobuline, la lactoprotéine, la caséine du lait de vache. Les intolérances sont expliquées par notre production décroissante au fil de l’âge de la lactate, l’enzyme nous permettant de digérer le lactose. De plus en plus de bébés naissent avec une très faible tolérance au lactose. Ceci est du à un déficit en production de lactate et à la difficulté de digestion des lactoglobulines et caséines. Ces dernières sont des protéines particulièrement grosses et difficiles à décomposer lors de la digestion. Mal digérées, elles provoquent alors des inflammations, des coliques chez les nourrissons.

    Quels sont les risques à la consommation de lait de vache ?

    Par ailleurs, les laitages animaux (lait de vache, brebis, chèvre) sont particulièrement acidifiants. Cette acidification est vectrice d’ostéoporose, de fractures et d’arthrose et stimulent la destruction de l’os. Cette acidification sera néfaste pour les patientes atteintes de SOPK et d’endométriose, majorant ainsi les inflammations.

    La lactose stimule le facteur de croissance insulinomimétique, appelé somatonédine C (IGF-1). Les bébés en ont besoin, mais passée la période nourrisson/enfance, IGF-1 n’a pas besoin d’être “sur stimulé”.

    L’excès de consommation de produits laitiers animaux augmentent de façon significative le niveau d’insuline. Cette augmentation peut conduire à l’insulino-résistance, facteur de SOPK, de l’inflammation et de diabète de type II. Parallèlement, ils contiennent trop de graisses saturées néfastes en cardiologie (infarctus, artérite…) et en neurologie (AVC, Alzheimer, Parkinson…).

    Par ailleurs, l’utilisation déraisonnée des antibiotiques dans les élevages conduisent à une modification de la qualité du lait de vache et de la flore saprophyte. On retrouve également des perturbateurs endocriniens qui vont agir sur le fonctionnement thyroïdien et favoriser prise de poids, apparition de maladies auto-immunes, hypo fertilité, infertilité, SOPK, endométriose, micro-pénis, anomalies génitales, cryptorchidies, puberté précoce, cancer.

    En effet, les graisses des laitages diluent les polluants qui sont liposolubles et ainsi interfèrent très facilement avec les récepteurs des hormones thyroïdiennes, sexuelles, stéroïdiennes.

    Par quoi remplacer le lait de vache ?

    Les laits végétaux sont généralement plus digestes. Il en existe plusieurs sortes avec chacun des propriétés différentes en fonction de leur composition. Souvent, il est nécessaire d’en tester plusieurs avant de trouver celui qui nous convient en terme de goût, de digestion, et de composition.

    Le lait se trouve également dans le beurre, les crèmes, les biscuits, les plats préparés, les fromages, le chocolat. Il se cache dans de nombreuses préparations, c’est pourquoi il est nécessaire, en cas d’éviction, d’être particulièrement vigilent aux étiquetages.

    Le lait de vache peut être remplacer par les laits végétaux. 

Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose

    Quel lait premier âge privilégier pour les nourrissons ?

    Si on considère l’allaitement au sein comme l’alimentation la plus adaptée pour les nourrissons et bébés jusqu’à 6 mois, vous pouvez aussi faire le choix de l’allaitement au biberon.

    Face au large choix de laits premier âge sur le marché, il est parfois difficile de s’y retrouver. Le bébé peut également marquer ses préférences par le refus de certains laits ou par des réactions digestives. L’idéal étant de choisir un lait dont la composition se rapproche le plus de celle du lait maternel. Le lait maternel est particulièrement changeant. Sa composition évolue au cours d’une même tétée, contrairement au lait présent dans le biberon. Il est donc difficile/ impossible de trouver un lait qui possède les mêmes qualités que le lait maternel.

    Le lait de vache est particulièrement inadapté pour le nourrisson car sa concentration en protéines est nettement trop élevée et le nourrisson n’est pas capable de les digérer. La concentration de glucides, est quant à elle trop faible. C’est pour cela que les préparations premier âge sont travaillées et évoluées pour se rapprocher au mieux de ses besoins. Afin de limiter les coliques et douleurs digestives, vous pouvez veiller à ce que le rapport Caséines/protéines du Lait se rapproche le plus du lait maternel soit 40/60, avec un poids en protéines de 1g environ.

    La composition en acides gras est particulièrement importante à vérifier afin de favoriser les laits à teneur intéressante en acides gras polyinsaturés et limiter les acides gras saturés. Les laits infantiles remplacent les graisses lactiques par des huiles végétales mais qui sont dépourvues en cholestérol. Le cholestérol étant très important pour le développement neurocognitif de l’enfant, le protège des agents infectieux et favorise sa croissance. Ils ont potentiellement un effet sur la programmation de la santé de l’adulte. Dans tous les cas, il est particulièrement déconseillé de nourrir le nourrisson avec un lait végétal (type lait de riz, lait de chèvre, lait de soja etc…) dont la composition ne correspond aux besoins du nouveau né.

    Lien pour le nouveau cadre réglementaire :

    https://www.laits.fr/nos-guides/la-legislation-france-europe/2020-nouveau-cadre-reglementaire-pour-les-produitsde-nutrition-specialises/

    Lien de mes recettes sans lait de vache, sans gluten

    Que fait-on en nutrition fonctionnelle pour limiter le lait de vache ?

    Pour les adultes : Nous diagnostiquons une éventuelle réaction à la consommation de lait de vache et dans ce cas travaillons sur une éviction provisoire ou complète en fonction de l’évolution des symptômes.

    Pour les femmes allaitantes : Parfois la consommation de lait de vache ou de produits en contenant provoque des coliques au nourrisson. Il est possible de le remplacer par des laits végétaux et de veiller à l’étiquetage des aliments consommés.

    Pour les nourrissons non allaités au sein : Nous étudions ensemble la composition des laits infantiles pour choisir celui se rapproche au plus près des besoins et de la tolérance du bébé.

    Pour me contacter c’est par ici. Les consultations se déroulent à distance ou à mon cabinet situé sur Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.

    Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique

  • perds mes cheveux alopécie
    Fertilité,  Nutrition fonctionnelle,  SOPK

    Je perds mes cheveux – Alopécie & SOPK

    Je perds mes cheveux, mais que se passe-t-il ?

    “Je perds mes cheveux” : L’alopécie est de plus en plus courante et touche les femmes comme les hommes. La perte de cheveux est rarement soudaine, mais devient de plus en plus importante au fil des semaines. Elle se caractérise par une raréfaction diffuse des cheveux sur la partie centrale du cuir chevelu. Tandis que la ligne frontale est généralement conservée.
    Chez les femmes, elle est plus insidieuse car les patientes peuvent mettre du temps à s’en rendre compte. Elles ne se sentent pas forcément soutenues par leur entourage face à cette “impression” qui souvent se révèle réelle.
    Plus la perte de cheveux est prise en charge rapidement, plus il sera facile de la limiter.

    Alopécie et SOPK

    Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une maladie endocrinienne complexe et hétérogène. Elle est caractérisée par une hyperandrogénie , une ovulation faible ou absente et des anomalies métaboliques, notamment une résistance à l’insuline, un poids excessif ou une obésité, un diabète de type II, une dyslipidémie et un risque accru de maladie cardiovasculaire.

    La manifestation clinique la plus importante du SOPK est l’hyperandrogénie. L’excès d’androgènes affecte le développement folliculaire par des mécanismes complexes qui conduisent à l’obésité et à l’insulinorésistance. L’hyperandrogénie induit l’obésité, la pilosité, l’acné et l’alopécie androgénétique. Ces symptômes peuvent apporter un grand stress psychologique aux femmes jusqu’à la dépression, le repli sur soi, la perte d’estime et de confiance en soi. L’alopécie androgénique commencera à se manifester après la puberté au plus tôt mais peut se déclencher bien plus tard. Quand nous traitons le SOPK, en travaillant sur les différentes causes du SOPK, nous améliorons l’alopécie. Néanmoins, c’est un des symptômes les plus longs à corriger car la pousse du cheveu se fait sur plusieurs mois.

    Je souffre de SOPK et je perds mes cheveux : Que peut-on faire en nutrition fonctionnelle pour corriger l’alopécie chez la patiente SOPK ?


    Les causes de la perte de cheveux tant chez l’homme que chez la femme sont nombreuses. La première action à réaliser est une analyse biologique des différents nutriments, micronutriments et hormones qui peuvent causer cette perte de cheveux.
    Puis notre attention se portera sur le mode de vie de la personne, ses antécédents, un éventuel élément déclencheur, afin de considérer tous ces facteurs pour apporter le meilleur accompagnement et trouver les solutions à long terme.
    Dans tous les cas, la perte de cheveux, quand elle commence, est un signe de déséquilibre(s) au sein de votre corps qui date(nt) au moins de 3 mois, il est donc urgent de trouver les causes (par exemple une hypothyroïdie frustre ou un déficit micronutritionnel) afin de la traiter au plus tôt. La nutrition fonctionnelle, aujourd’hui, sait proposer plusieurs solutions pour répondre au différentes causes.

    Vous pouvez me contacter par ici Rendez-vous Nutritionniste. Les consultations peuvent se réaliser à distance ou en cabinet situé à Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.

    La perte de cheveux chez l'homme et la femme peut être limitée si prise en charge rapidement. La nutrition fonctionnelle permet de ralentir cette perte et d'optimiser les traitements médicaux mis en place. 
Santé et alimentation
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose
    “Je perds mes cheveux, comment y remédier ?”

    Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique

    ref : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31677111/

  • sommeil poids fertilité
    Endométriose,  Fertilité,  Poids,  SOPK

    Le sommeil, prise de poids et infertilité

    Le sommeil, prise de poids et infertilité

    Le sommeil est un de mes 8 piliers essentiels à travailler en nutrition fonctionnelle notamment lorsque l’on souhaite travailler sur les problématiques de poids et d’infertilité. Il n’y a pas de règles définies en terme de nombre d’heures et d’horaires à respecter. Même si on parle d’une moyenne de 7H30 par personne, une personne peut avoir besoin de 6H par nuit quand une autre aura besoin de 10h. Également, chaque personne a une prédisposition à être plutôt du matin ou du soir. Et il est rarement possible de faire changer les prédispositions en terme de sommeil.

    Quelles sont les fonctions du sommeil ?

    Le sommeil permet la cicatrisation, d’encoder nos souvenirs, de produire de la leptine, hormone de la satiété essentielle pour la gestion du poids et la régulation de la glycémie et donc des envies de sucre la journée. Mais aussi il favorise notre mémoire et notre cognition. C’est également la nuit que le système immunitaire se régularise et que la restauration cellulaire s’active. Il permet aussi de réguler la pression artérielle. Mais il a surement d’innombrables autres fonctions non découvertes à ce jour.

    Les personnes qui ne dorment pas assez par rapport à leur besoin auront plus de risques face aux infections, aux cancers, aux maladies auto-immunes, aux maladies cardio-vasculaires, à l’hypertension artérielle. Les risques de diabète et de maladies cardiaques sont augmentés. Le sommeil permet également la régulation hormonale générale, comme les catécholamines, les hormones stéroïdes, les hormones sexuelles. Au niveau psychologique, le manque de sommeil peut amener à de faibles performances cognitives, un temps de réaction ralenti et des risques de dépression et d’anxiété.

    Le sommeil permet de lutter contre la prise de poids et l'infertilité, la récupération, la croissance, la régénération, la digestion, le bon fonctionnement du système immunitaire. La nutrition fonctionnelle permet de favoriser un bon sommeil. 


Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose

    Comment fonctionne le sommeil ?

    On peut décomposer le sommeil en trois phases : La phase d’induction correspond à la phase de préparation au sommeil. La phase de maintenance correspond aux heures de sommeil. La dernière phase correspond à la préparation au réveil et au réveil.

    Les problématiques de sommeil sont souvent des difficultés d’endormissement, des réveils nombreux, des réveils précoces, des ronflements, de l’apnée, le syndrome des jambes sans repos.

    L’hormone principale du sommeil est la mélatonine. La glande pinéale située dans le cerveau permet de détecter la présence ou non de la lumière via la rétine. Lorsque cette glande endocrine détecte un défaut de lumière, elle déclenche la production de tryptophane. Celui-ci, par conversion, en sérotonine produira la mélatonine. La mélatonine aura donc un premier pic vers 20H puis se produite de manière croissante jusqu’à environ 2h du matin. Sa concentration sera ensuite décroissante pour laisser place à la production de cortisol qui prendra le relais pour assurer le réveil. Les trois premières heures d’endormissement sont fondamentales. Elles concentrent la principale phase de sommeil profond. C’est à ce moment que l’hormone de croissance est la plus fonctionnelle.

    Le manque de sommeil et la prise de poids

    Une carence en sommeil provoque des fluctuations hormonales. La baisse de production de leptine augmente notre appétit et joue un rôle dans la prise de poids. La leptine permet au corps de réguler son énergie et la satiété. En l’absence de leptine, on perd la sensation de satiété et donc le corps va réclamer à manger constamment.

    Lorsque la durée de sommeil est trop faible par rapport à nos besoins, la production de cortisol va rester trop importante afin de maintenir éveillé. Cet excès de production va également augmenter l’insulinorésistance. Des nuits de moins de 6h augmentent le risque de diabète de type II de 30%.

    Le manque de sommeil et l’infertilité

    Les hormones sexuelles sont sécrétées en synergie avec le rythme circadien de l’organisme. Cela régule les fonctions qui permettent de favoriser une grossesse. Le manque de sommeil chez les hommes et les femmes est souvent cité comme l’une des causes de l’infertilité. Chez les hommes, les troubles du sommeil altèrent la sécrétion des hormones sexuelles, entraînant ainsi une diminution du taux de testostérone, une réduction de la motilité des spermatozoïdes et l’apoptose des cellules de Leydig. mulis. Ce mécanisme augmente l’activation de l’axe hypothalamus-hypophyse-surrénale (HPA), qui, par conséquent, accroît la production de corticostérone. Le niveau élevé de corticostéroïdes entraîne une réduction de la production de testostérone.

    La privation de sommeil produit un effet proportionnel sur les femmes en réduisant les chances de fertilité. L’insomnie chez les femmes diminue la production de mélatonine. Ce déficit entraîne une activation excessive de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS). Ce qui se traduit par des fausses-couches, des difficultés d’implantation embryonnaire, une anovulation et une aménorrhée. Le manque de sommeil chez les femmes est également associé à une altération de la sécrétion de gonadotrophines et de stéroïdes sexuels.

    Ensemble, ils conduisent à l’infertilité féminine. L’influence des troubles du sommeil post-ménopausiques est associée à une synthèse et une sécrétion irrégulières des hormones stéroïdes sexuelles féminines.

    Comment la nutrition fonctionnelle peut aider à retrouver un sommeil récupérateur ?

    Par la nutrition fonctionnelle, la modification de petites habitudes de vie et la mise en place de quelques techniques, nous pouvons favoriser nettement la production de mélatonine ou corriger les causes de l’insomnie, des réveils précoces, des réveils réguliers ou du manque de sommeil récupérateur. Une personne en manque de mélatonine est à prendre en charge très rapidement. Je le considère comme une nécessité vitale mais ce n’est pas l’unique cause, c’est pour cela que je considère mon patient dans sa globalité. Nous travaillerons tout d’abord sur la phase d’induction avec par exemple, la diminution du sport tardif, la diminution de consommation de protéines qui favorisent la dopamine (hormone du matin), la gestion des pensées constantes etc…

    J’apporte également une attention particulière à la santé digestive qui impacte le sommeil tout comme les inflammations. La prise en charge dans le cadre de l’amélioration du sommeil est multifactorielle et son amélioration aura une incidence sur d’autres pathologies à traiter et notamment la fertilité, le SOPK, l’endométriose et la ménopause.

    Pour prendre rendez-vous avec votre nutritionniste, c’est par ici. Je consulte à distance ou à mon cabinet situé à Saint-Chamas, entre Istres et Salon-de-Provence.

    Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique

    Ref : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32256630/

  • vitamine D
    Endométriose,  Fertilité,  Nutrition fonctionnelle,  SOPK

    Vitamine D, infertilité, SOPK et endométriose

    Depuis 2 ans, la vitamine D est au centre des préconisations pour maintenir un système immunitaire efficace. Mais ses fonctions ne s’arrêtent pas là. Les études suggèrent qu’elle a un rôle important dans l’infertilité, l’endométriose et le SOPK.

    Quels sont les fonctions de la vitamine D ?

    En réalité, la vitamine D n’est pas une vitamine mais une hormone.

    – la vitamine D a des effets sur la qualité des fibres des muscles squelettiques et permet d’augmenter la force musculaire
    – elle est nécessaire à une bonne absorption et fixation du calcium sur les os. En effet, pour éviter le rachitisme, elle est prescrite jusqu’à l’âge de 6 ans.

    – elle est essentielle au métabolisme phospho-calcique (la santé de l’os) en augmentant la maturation des ostéoblastes, en augmentant l’absorption intestinale phosphocalcique, en diminuant l’excrétion calcique par le rein, en augmentant la synthèse du collagène et en régulant la PTH (action sur la régulation du calcium)
    – permet la réduction du risque d’infections virales en agissant sur l’immunité acquise et sur l’immunité innée
    – agit en prévention des maladies auto-immunes
    – réduit les risques cardio-vasculaires en favorisante la contractilité du cœur et des vaisseaux
    – participe à la réduction des risques de diabète en régulant la sécrétion de l’insuline et en équilibrant la sensibilité à l’insuline
    – agit en prévention contre certains cancers : une étude sur 1180 femmes ménopausées a mis en évidence une diminution significative des risques de cancer après 4 ans de traitement à forte dose de vit D3 (1100Ui par jour) (Ref : V « vitamin D and calcium supplementation reduces cancer risk »

    Quelle est l’importance de la vitamine D dans la prise en charge de l’infertilité due au SOPK, à l’endométriose ou masculine ?

    Plusieurs études suggèrent que la vitamine D a des effets bénéfiques sur les paramètres métaboliques du SOPK et de l’endométriose. Les preuves accumulées par les études humaines indiquent que la vitamine D est impliquée dans de nombreuses fonctions du système reproductif chez les deux sexes.

    Chez les hommes, le statut en vitamine D s’associe à la qualité/quantité, à la motilité et à la morphologie des spermatozoïdes. Il existe des preuves d’un effet favorable de la supplémentation en vitamine D sur la qualité du sperme. Mais elle impacte aussi les concentrations de testostérone et les résultats en matière de fertilité.

    Chez les femmes, les carences en vitamine D sont régulièrement associées au développement du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), à l’endométriose et à l’infertilité.

    Chez les femmes, la vitamine D a un effet direct sur la production d’AMH, ce qui augmente la réserve ovarienne. D’autre part, il est supposé qu’une concentration élevée de calciférol peut être liée à une élimination altérée des cellules endométriales. Celles-ci passent dans la cavité péritonéale via le reflux ovarien et provoquant une endométriose.

    La supplémentation en vitamine D est essentielle dans la prise en charge de mes patientes atteintes de SOPK. Elle permet d’améliorer la résistance à l’insuline. Et aussi d’améliorer les résultats du traitement de l’infertilité. Dans les cellules de granulosa, la vit D modifie la sensibilité à la FSH, la production et la libération de progestérone. Ce qui indique un rôle physiologique positif de la vitamine D dans le développement folliculaire ovarien. Par conséquent elle améliore les chances de grossesses.

    👉Comment favoriser ses apports en Vitamine D ?

    La vitamine D bénéfique pour tous : infertilité, SOPK et endométriose.

Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose

    ❌ l’alimentation actuelle n’est pas en capacité de nous apporter la dose minimum quotidienne. Il nous faudrait manger une quinzaine d’œufs par jour
    ❌ l’exposition au soleil n’est plus efficace (pollution, la peau s’affine avec l’âge et diminue nettement l’absorption, peu de région en sont assez pourvues)
    ❌ Attention au marketing : le calcium présent dans le lait n’est pas correctement assimilé par notre corps.

    -> 💊Choisir un complément où la vitamine D3 est associée à la vitamine K2.
    La vitamine K2 active des protéines qui permettent au calcium d’être utilisé correctement par l’organisme. Sans ces protéines le calcium est stocké dans le corps et est totalement inactif. Des plaques se forment, des calcifications peuvent apparaitre ainsi que d’autres problématiques (calculs rénaux par exemple).

    -> 💊La vitamine D étant soluble dans les graisses, favorisez sa prise au diner avec un aliment composé de bon gras ou des omégas 3.

    Faites-vous accompagner par un professionnel de santé afin de réaliser un bilan des micro-nutriments. Parfois le déficit est tel qu’il faut remonter la vitamine D par des doses beaucoup plus importantes.

    Vous pouvez me contacter par ici. Les consultations se déroulent à distance ou à mon cabinet sur Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.

    Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique

    ref : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30612423/

  • fatigue petit dejeuner
    Fertilité,  Périnatalité,  Poids

    Fatigue et la qualité du petit-déjeuner

    Le contenu de notre petit-déjeuner aura un impact important sur la réduction de la fatigue, la production d’énergie et même sur notre sommeil. Les principaux neurotransmetteurs sont sécrétés tout au long de notre journée et régissent notre énergie, notre fatigue, notre humeur.

    Fatigue et qualité du petit-déjeuner
Les principaux neurotransmetteurs et leurs actions
Santé et alimentation
Nutritionniste sur Saint-Chamas, Istres, Salon-de-Provence : Prise en charge de la perte de poids, surpoids, grossesse, infertilité, SOPK, endométriose

    Les neurotransmetteurs sont des messagers qui partent des neurones du cerveau pour transmettre un message à un autre neurone “post-synaptique”. Il peut déclencher ou inhiber un influx nerveux.

    La qualité du petit déjeuner va agir sur l’ensemble de vos hormones sécrétées toute la journée, même les hormones qui favorisent votre sommeil le soir. De quoi y apporter quelques informations :

    Comment le petit-déjeuner protéiné va influer sur la réduction de votre fatigue ?

    😴 Un petit-déjeuner qui n’est pas de qualité peut effectivement avoir des répercutions sur votre endormissement et/ou la qualité de votre sommeil et sur votre niveau de fatigue.

    🥰 Pour les enfants, encore plus, quelques modifications dans la composition de leur premier repas peut avoir des avantages considérables en favorisant la concentration, l’apprentissage et la baisse de l’hyperactivité ou des fatigues/ tensions de fin de matinée et une amélioration du sommeil.

    ➡️ Rappel sur nos hormones : Dès le matin, notre corps active l’insuline, la dopamine et la noradrénaline.

    L’insuline : permet le transport du sucre. Elle est sécrétée par le pancréas.

    Le matin, si on apporte directement du sucre, l’insuline ira chercher les graisses de nos cellules pour permettre au sucre de monter en flèche dans le sang. En réponse, le corps va alors produire en masse de l’insuline, les cellules se serviront du nécessaire et le reste sera stocké dans les cellules graisseuses ou dans le foie.

    Les deux autres neurotransmetteurs stimulés au réveil :

    ➡️ La dopamine : Elle agit comme starter, grâce à elle on se réveille avec envie
    ➡️ La noradrénaline : Elle agit comme « booster » toute la journée pour nous permettre de nous sentir bien

    Afin de produire ces 2 neurotransmetteurs, il faut apporter de la tyrosine (acide aminé composant de la protéine).

    Par ailleurs, l’apport de bon gras (mono ou poly insaturés) est nécessaire afin de constituer la membrane cellulaire et aussi participer à la fabrication de l’ATP (énergie). => Un apport de bon gras le matin entrainera une moindre fabrication de « mauvais » cholestérol.

    ➡️ La sérotonine agit en nous apaisant graduellement en fin de journée. Celle-ci est synthétisée à partir du tryptophane. Le tryptophane se trouve aussi dans les protéines mais beaucoup plus dans le sucre (les hydrates de carbones). ‼️Si notre petit déjeuner est composé de sucre, plusieurs risques :
    ‼️ Hypoglycémie par l’excès d’insuline en fin de matinée
    ‼️ Apport de tryptophane au mauvais moment de la journée donc somnolence et plus assez pour le soir donc problèmes de sommeil.

    ✅ La présence de protéines ainsi que du gras au petit-déjeuner :

    🔆 Apporte de l’énergie pour toute la journée et réduit la fatigue
    🔆 Favorise la satiété en évitant une forte consommation de glucides
    🔆 Permet de réduire la vitesse d’assimilation des glucides

    Lien Article sur le petit-déjeuner => ici

    Les neurotransmetteurs du bonheur : fatigue et qualité du petit-déjeuner

    Quel accompagnement en nutrition fonctionnelle concernant la qualité du petit-déjeuner et la réduction de la fatigue ?

    En nutrition fonctionnelle, je travaille avec vous afin que ces neurotransmetteurs fonctionnent correctement au bon moment de la journée. On peut modifier plusieurs piliers afin de favoriser leurs actions. La régulation de ces hormones permet également de travailler sur le SOPK, l’endométriose et la fertilité en augmentant les chances de grossesse. En effet, cet équilibre retrouvé permet de diminuer le niveau de stress, de réguler la sensibilité à l’insuline, de contrôler le poids, de réduire la fatigue générale et générée par les traitements.

    N’hésitez pas à me contacter par ici. Les consultations se déroulent à distance ou à mon cabinet situé à Saint-Chamas entre Istres et Salon-de-Provence.

    Céline Matrullo – Nutritionniste Fonctionnelle – Spécialiste Surpoids, infertilité, santé gynécologique

    https://www.resalib.fr/praticien/60807-celine-matrullo-nutritherapeute-saint-chamas